WISH YOU WHERE HERE
Parut au Royaume-Uni le 12 Septembre 1975
N°1 au Royaume-Uni, classé pendant 104 semaines, N°1 en France, au Etats-Unis, et au Pays-Bas.
Avec The Dark Side Of The Moon, Pink Floyd entre dans le club très fermé
des monstres sacrés de l’industrie du disque, aux cotés des Rolling Stones, Led Zeppelin et de Who, toujours en activité, en témoignent les 700000 exemplaires vendus rien qu’au Royaume-Uni
durant les semaines qui suivent sa parution et les concerts joués a guichet fermés.
Pour trouver ce digne successeur, les Pink Floyd vont ressusciter des 1973 leur Project d’album entièrement conçu a partir d’objets usuels, ils avaient bien tenté de le réaliser
en 1971, au début des séances de Meddle, mais sans résultat.
A la fin de 1974, le groupe semble s’être un peu essoufflé commentant l’une de leurs prestations scéniques, Nick Kent écrit en novembre 1974, les Pink Floyd paraissent
si fatigués et exténués qu’ils sont dénués de toute idée créative que l’on se demande s’il se soucient encore de leur musique.
En Janvier 1975, les quatre membres du groupe se retrouvent a Abbey Road au Studio 3, qui a été entièrement refait pour les sessions de ce qui sera leur neuvième album studio.
Wish You Were Here, sort au Royaume-Uni et en Europe continentale le 12 Septembre 1975, et le lendemain aux Etats-Unis, l’album n’est pas distribué par Capitol, mais par Comlombia, a
la suite du contrat signé a la fin de l’année 1972 a L’initiative du manager Steve O Rourke.
Le nouvel opus de Pink Floyd connait un succès retentissant dans le monde entier, il sera N°1 Au Royaume-Uni, En France il sera double disque de platine, aux Etats-Unis, 6 millions d’exemplaires
vendus et six fois disque de platine, en Australie sept fois disque de platine et au Pays-Bas, il s’en écoulera un million d’exemplaires et disque de diamant.
SHINE ON YOU CRAZY DIAMOND partie 1-5
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C’est en Janvier 1974, lorsque les Pink Floyd se retrouvent pour composer en vue de leur prochain album que les quatre notes qui ouvrent cette immense symphonie viennent a David Gilmour, quatre notes
qui ont inspiré Roger Waters, au point d’écrire l’un de ses plus beaux texte Crazy Diamond ( le diamant fou ) c’est évidemment Syd Barrett, qui n’est plus membre de Pink Floyd depuis
plusieurs années, qui n’est plus physiquement, mais qui demeure toujours présent dans l’esprit de Roger Waters, David Gilmour, Wright et Mason.
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